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M-am gandit ca ar fi util un topic in care sa prezentam link-uri, citate , imagini oferite de reviste, site-uri care au testat noul megane. Voi incepe eu cu un testdrive xelopolis.com ( http://www.xelopolis.com/dossiers/dossier_...ssion+2008.html ) voi reda pe scurt care cred ei ca sunt punctele forte: CODE - Rapport prix/prestations - Tenue de route exemplaire - Meilleure direction - Consommation - Capacité du coffre - Planche de bord réussie si care sunt minusurile masinii CODE - Visibilité arrière - Habitabilité arrière - Banquette arrière bricolée - Boîte de vitesse accrocheuse ESSAI : Renault Mégane III 1,5 dCi 90 ch FAP Expression 2008 Après presque six années de bons et loyaux services et 8,5 millions d’exemplaires vendus, la Mégane II, malmené par son physique particulier (audacieux pour certains, réussi pour d’autres et déplaisant pour les habitués au classicisme allemand) et son coffre trop petit, tire sa révérence et laisse place à une nouvelle mouture plus consensuelle qui aura fort à faire pour faire face à une concurrence de plus en plus affûtée. Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 Les designers Renault ont choisi plus de classicisme c’est pourquoi ils ont adoucis les lignes et optés pour plus de rondeurs sur les flancs et la partie avant. Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 A l'intérieur de la Mégane, la planche de bord est ergonomique, très bien assemblée et les matériaux sont plutôt bien choisi. La bande noire traversant la planche de bord apporte une certaine classe à l’ensemble. L'habitabilité est bonne dans l'ensemble mais l'espace aux jambes a été réduits par rapport  à l'ancienne mouture. Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 Les compteurs combinent l’analogique et le numérique avec brio. Des voyants vert et rouge sont disposés autour du cadran principal pour vous informer de l’état du régulateur/limiteur de vitesse (vert si vous ne dépasser pas la vitesse enregistrée, rouge si vous êtes au dessus) Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 Sous le capot de notre Mégane, le moteur diesel 1,5 l dCi développe 90 ch et un couple de 208 Nm. Il se montre plutôt convaincant et semble apporter le meilleur compromis prix/performances de la gamme. Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 Un vérin maintient le capot ouvert : incroyable mais vrai, Renault a enfin compris que ça pouvait être utile ! Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009 Avec 476 dm3, le coffre de la Mégane est le plus grand de sa catégorie ! Design La nouvelle Mégane doit plaire et ne plus être dans la philosophie du « je ne dois pas déplaire » pour être l’assurance de Renault durant les 5 ans à venir. Esthétiquement, exit les lignes franches et agressives, la face avant aux feux rageurs et l’arrière si original avec sa petite vitre de hayon et son essuie-glace minuscule, les designers Renault ont choisi plus de classicisme c’est pourquoi ils ont adoucis les lignes et optés pour plus de rondeurs sur les flancs et la partie avant. Le style général est à la fois conservé avec des proportions et des positions de feux similaires au modèle antérieur. Espérons que ce choix sera le bon pour prendre le large sur la concurrence. Personnellement, je ne le pense pas, rentrer dans le rang habituel des compactes ultras classiques à la Volkswagen Golf n’est pas vraiment le meilleur choix. Entre une voiture au style fade et aux prestations largement comparables et une autre esthétiquement particulière, original voire même craquante avec des prestations largement à la hauteur de la concurrence, je fais vite mon choix. Vie à bord L’habitacle de la nouvelle Mégane est très agréable au quotidien. La belle compacte abandonne quelques signes caractéristiques de l’ancienne génération (frein à main type aviation, compteurs typés moto et rangements dans les portières). La planche de bord se veut sobre et fluide à l’image du style extérieur. La bande noire traversant la planche de bord apporte une certaine classe à l’ensemble. Les plastiques de notre version Expression (milieu de gamme) sont de bon aloi et les assemblages sont sans reproche. Les compteurs évoluent dans le bon sens. Ils combinent l’analogique (compte-tours) et le numérique (vitesse, jauge du carburant et ordinateur de bord) avec brio. Tout a été étudié pour être le plus ergonomique possible. Par exemple, des voyants vert et rouge sont disposés autour du cadran principal pour vous informer de l’état du régulateur/limiteur de vitesse (vert si vous ne dépasser pas la vitesse enregistrée, rouge si vous êtes au dessus). Même si le style de la sellerie évolue, j’ai eu l’impression de retrouver l’aspect (plutôt flatteur) des sièges de l’ancienne génération. Même si l’auto est très confortable et que les réglages ne manquent pas, j’ai trouvé la finition de la sellerie tout juste correcte, en effet, lorsque vous devez rabattre la sellerie arrière, vous voyez d’une part la mousse jaune du dessous de la banquette et vous avez l’impression que les assises vont vous rester dans la main. Petite note au passage : il vous sera nécessaire de retirer les appuis-tête arrière pour coucher convenablement les dossiers. L’habitabilité de la Mégane a également évoluée. Avec des dimensions en hausses (8 cm de plus de longueur et 2 cm de plus en largeur pour atteindre respectivement 4,29 m et 1,80 m), la nouvelle Mégane ne grossit pourtant presque pas à l’intérieur. L’avant gagne 1 cm en largeur et l’arrière perd 1 cm en largeur et 1,5 cm d’espace en jambes. Pourquoi allez-vous me dire ? D’une part pour améliorer toujours plus la sécurité et d’autre part pour augmenter les capacités du coffre (ce qui faisait défaut dans l’ancien modèle). Avec 476 dm3, le coffre de la Mégane est le plus grand de sa catégorie ! Comme d’habitude, le rapport prix/équipements de cette finition est intéressant puisque cette Mégane s’équipe de série de la climatisation automatique bi-zone, du régulateur/limiteur de vitesse, lecteur CD MP3 avec commandes au volant, lève-vitres électriques avant et arrière, rétroviseur électriques dégivrant, détecteur de pluie. D’un point de vue sécurité, Renault montre son savoir-faire avec pas moins de 8 airbags (2 frontaux, 2 latéraux et 4 rideaux), l’ESP et l’ABS de série. Moteur Sous le capot de notre Mégane, le moteur diesel 1,5 l dCi développant 90 ch et un couple de 208 Nm peut sembler à la peine. Pourtant ce moteur se montre plutôt convaincant et semble apporter le meilleur compromis prix/performances. En effet, avec un poids de 1 280 kg, Renault n’a pas alourdi son modèle compact, ce qui permet au moteur d’offrir une grande souplesse et un réel agrément, même s’ils seront moins rapides qu’avec un moteur plus puissant, les dépassements ne sont pas un problème pour ce modèle. Sur le papier, les performances restent modestes (0 à 100 km/h effectué en 13,7 secondes, 1000 mètres départ arrêté en 35,8 secondes et vitesse maximales atteinte à 165 km/h) mais les reprises sont pourtant intéressantes, d’où l’efficacité rencontrée au quotidien. En plus d’être agréable, ce moteur se veut « écologique ». Equipé d’un filtre à particules (ce qui impose un surcoût de 400 € par rapport au même moteur 1,5 dCi de 85 ch non équipé), il respecte déjà les normes Euro V de Septembre 2009 ! Les rejets de CO2 de dépasseront pas 118 g/km (bonus écologique de 700 €) en moyenne et la consommation ne devrait guerre dépasser les 6,5 litres (plus de 1000 km d’autonomie !). En moyenne, je n’ai pas consommé plus de 5,5 litres aux 100 km ! Renault à également raccourci le point de patinage de ce nouveau modèle afin d’optimiser l’agrément de conduite. J’ai cependant regretté que la boîte manuelle à 5 rapports soit aussi accrocheuse et que la sensation de tenir une tige souple et fragile se fasse autant sentir, une caractéristique assez agaçante. Comportement Sur la route, la nouvelle Mégane améliore encore les qualités de sa devancière tout en corrigeant ses principaux défauts. La direction se montre maintenant plus précise, beaucoup moins molle et enfin agréable. Le comportement montre très peu de défauts. Les suspensions son parfaitement calibrées et sublime la tenue de route sans gâcher le confort de l’auto ; la Mégane est une vraie routière ! Il faudra vraiment malmener l’auto pour sentir une réelle prise de roulis et un sous-virage prononcé. De coutume chez Renault, le freinage de la Mégane III est puissant malgré des distances de freinages légèrement en hausse par rapport à la Mégane II (des chiffres qui restent cependant des références dans la catégorie). Conclusion La nouvelle Mégane dans cette version 1,5 dCi 90 ch FAP saura avaler les kilomètre avec un certain brio. Même si le moteur n’est pas le plus sportif de la gamme, il se montre agréable et bien adapté au modèle. Dommage que la boîte de vitesse accroche car cette compacte ne comporte pas de grands défauts. Renault a su corriger les anomalies de la Mégane II sans pour autant se rattraper sur les tarifs. D’ailleurs, dans cette finition Expression, la nouvelle Mégane offre une belle gamme d’équipements de série qui feront d’elle une bonne routière agréable à conduire et économique au quotidien. Essai réalisé par Rémy DEVAUREIX Photos : Jean-Christian Cousin Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_1.jpg Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_11.jpg Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_24.jpg Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_13.jpg Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_14.jpg Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_16.jpg Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_23.jpg Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_4.jpg Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_17.jpg Essai_Renault_Megane_1.5_dci_2008_20.jpg This post has been edited by aphophis: 6 Jan 2009, 21:16

M-am gandit ca ar fi util un topic in care sa prezentam link-uri, citate , imagini oferite de reviste, site-uri care au testat noul megane. Voi incepe eu cu un testdrive xelopolis.com ( http://www.xelopolis.com/dossiers/dossier_...ssion+2008.html )






voi reda pe scurt care cred ei ca sunt punctele forte:

CODE

- Rapport prix/prestations
- Tenue de route exemplaire
- Meilleure direction
- Consommation
- Capacité du coffre
- Planche de bord réussie

si care sunt minusurile masinii

CODE

- Visibilité arrière
- Habitabilité arrière
- Banquette arrière bricolée
- Boîte de vitesse accrocheuse

ESSAI : Renault Mégane III 1,5 dCi 90 ch FAP Expression 2008

Après presque six années de bons et loyaux services et 8,5 millions d’exemplaires vendus, la Mégane II, malmené par son physique particulier (audacieux pour certains, réussi pour d’autres et déplaisant pour les habitués au classicisme allemand) et son coffre trop petit, tire sa révérence et laisse place à une nouvelle mouture plus consensuelle qui aura fort à faire pour faire face à une concurrence de plus en plus affûtée.
Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009

Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009

Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009
Les designers Renault ont choisi plus de classicisme c’est pourquoi ils ont adoucis les lignes et optés pour plus de rondeurs sur les flancs et la partie avant.
Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009

Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009

Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009
A l'intérieur de la Mégane, la planche de bord est ergonomique, très bien assemblée et les matériaux sont plutôt bien choisi. La bande noire traversant la planche de bord apporte une certaine classe à l’ensemble. L'habitabilité est bonne dans l'ensemble mais l'espace aux jambes a été réduits par rapport  à l'ancienne mouture.
Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009
Les compteurs combinent l’analogique et le numérique avec brio. Des voyants vert et rouge sont disposés autour du cadran principal pour vous informer de l’état du régulateur/limiteur de vitesse (vert si vous ne dépasser pas la vitesse enregistrée, rouge si vous êtes au dessus)
Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009
Sous le capot de notre Mégane, le moteur diesel 1,5 l dCi développe 90 ch et un couple de 208 Nm. Il se montre plutôt convaincant et semble apporter le meilleur compromis prix/performances de la gamme.
Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009
Un vérin maintient le capot ouvert : incroyable mais vrai, Renault a enfin compris que ça pouvait être utile !
Essai Renault Megane 1.5 dCi 90 ch Expression 2009
Avec 476 dm3, le coffre de la Mégane est le plus grand de sa catégorie !
Design

La nouvelle Mégane doit plaire et ne plus être dans la philosophie du « je ne dois pas déplaire » pour être l’assurance de Renault durant les 5 ans à venir. Esthétiquement, exit les lignes franches et agressives, la face avant aux feux rageurs et l’arrière si original avec sa petite vitre de hayon et son essuie-glace minuscule, les designers Renault ont choisi plus de classicisme c’est pourquoi ils ont adoucis les lignes et optés pour plus de rondeurs sur les flancs et la partie avant.

Le style général est à la fois conservé avec des proportions et des positions de feux similaires au modèle antérieur. Espérons que ce choix sera le bon pour prendre le large sur la concurrence. Personnellement, je ne le pense pas, rentrer dans le rang habituel des compactes ultras classiques à la Volkswagen Golf n’est pas vraiment le meilleur choix. Entre une voiture au style fade et aux prestations largement comparables et une autre esthétiquement particulière, original voire même craquante avec des prestations largement à la hauteur de la concurrence, je fais vite mon choix.


Vie à bord

L’habitacle de la nouvelle Mégane est très agréable au quotidien. La belle compacte abandonne quelques signes caractéristiques de l’ancienne génération (frein à main type aviation, compteurs typés moto et rangements dans les portières).

La planche de bord se veut sobre et fluide à l’image du style extérieur. La bande noire traversant la planche de bord apporte une certaine classe à l’ensemble. Les plastiques de notre version Expression (milieu de gamme) sont de bon aloi et les assemblages sont sans reproche.

Les compteurs évoluent dans le bon sens. Ils combinent l’analogique (compte-tours) et le numérique (vitesse, jauge du carburant et ordinateur de bord) avec brio. Tout a été étudié pour être le plus ergonomique possible. Par exemple, des voyants vert et rouge sont disposés autour du cadran principal pour vous informer de l’état du régulateur/limiteur de vitesse (vert si vous ne dépasser pas la vitesse enregistrée, rouge si vous êtes au dessus).

Même si le style de la sellerie évolue, j’ai eu l’impression de retrouver l’aspect (plutôt flatteur) des sièges de l’ancienne génération. Même si l’auto est très confortable et que les réglages ne manquent pas, j’ai trouvé la finition de la sellerie tout juste correcte, en effet, lorsque vous devez rabattre la sellerie arrière, vous voyez d’une part la mousse jaune du dessous de la banquette et vous avez l’impression que les assises vont vous rester dans la main. Petite note au passage : il vous sera nécessaire de retirer les appuis-tête arrière pour coucher convenablement les dossiers.

L’habitabilité de la Mégane a également évoluée. Avec des dimensions en hausses (8 cm de plus de longueur et 2 cm de plus en largeur pour atteindre respectivement 4,29 m et 1,80 m), la nouvelle Mégane ne grossit pourtant presque pas à l’intérieur. L’avant gagne 1 cm en largeur et l’arrière perd 1 cm en largeur et 1,5 cm d’espace en jambes. Pourquoi allez-vous me dire ? D’une part pour améliorer toujours plus la sécurité et d’autre part pour augmenter les capacités du coffre (ce qui faisait défaut dans l’ancien modèle). Avec 476 dm3, le coffre de la Mégane est le plus grand de sa catégorie !

Comme d’habitude, le rapport prix/équipements de cette finition est intéressant puisque cette Mégane s’équipe de série de la climatisation automatique bi-zone, du régulateur/limiteur de vitesse, lecteur CD MP3 avec commandes au volant, lève-vitres électriques avant et arrière, rétroviseur électriques dégivrant, détecteur de pluie.

D’un point de vue sécurité, Renault montre son savoir-faire avec pas moins de 8 airbags (2 frontaux, 2 latéraux et 4 rideaux), l’ESP et l’ABS de série.


Moteur

Sous le capot de notre Mégane, le moteur diesel 1,5 l dCi développant 90 ch et un couple de 208 Nm peut sembler à la peine. Pourtant ce moteur se montre plutôt convaincant et semble apporter le meilleur compromis prix/performances. En effet, avec un poids de 1 280 kg, Renault n’a pas alourdi son modèle compact, ce qui permet au moteur d’offrir une grande souplesse et un réel agrément, même s’ils seront moins rapides qu’avec un moteur plus puissant, les dépassements ne sont pas un problème pour ce modèle. Sur le papier, les performances restent modestes (0 à 100 km/h effectué en 13,7 secondes, 1000 mètres départ arrêté en 35,8 secondes et vitesse maximales atteinte à 165 km/h) mais les reprises sont pourtant intéressantes, d’où l’efficacité rencontrée au quotidien.

En plus d’être agréable, ce moteur se veut « écologique ». Equipé d’un filtre à particules (ce qui impose un surcoût de 400 € par rapport au même moteur 1,5 dCi de 85 ch non équipé), il respecte déjà les normes Euro V de Septembre 2009 ! Les rejets de CO2 de dépasseront pas 118 g/km (bonus écologique de 700 €) en moyenne et la consommation ne devrait guerre dépasser les 6,5 litres (plus de 1000 km d’autonomie !). En moyenne, je n’ai pas consommé plus de 5,5 litres aux 100 km !

Renault à également raccourci le point de patinage de ce nouveau modèle afin d’optimiser l’agrément de conduite. J’ai cependant regretté que la boîte manuelle à 5 rapports soit aussi accrocheuse et que la sensation de tenir une tige souple et fragile se fasse autant sentir, une caractéristique assez agaçante.


Comportement

Sur la route, la nouvelle Mégane améliore encore les qualités de sa devancière tout en corrigeant ses principaux défauts. La direction se montre maintenant plus précise, beaucoup moins molle et enfin agréable. Le comportement montre très peu de défauts. Les suspensions son parfaitement calibrées et sublime la tenue de route sans gâcher le confort de l’auto ; la Mégane est une vraie routière ! Il faudra vraiment malmener l’auto pour sentir une réelle prise de roulis et un sous-virage prononcé.

De coutume chez Renault, le freinage de la Mégane III est puissant malgré des distances de freinages légèrement en hausse par rapport à la Mégane II (des chiffres qui restent cependant des références dans la catégorie).


Conclusion

La nouvelle Mégane dans cette version 1,5 dCi 90 ch FAP saura avaler les kilomètre avec un certain brio. Même si le moteur n’est pas le plus sportif de la gamme, il se montre agréable et bien adapté au modèle. Dommage que la boîte de vitesse accroche car cette compacte ne comporte pas de grands défauts. Renault a su corriger les anomalies de la Mégane II sans pour autant se rattraper sur les tarifs. D’ailleurs, dans cette finition Expression, la nouvelle Mégane offre une belle gamme d’équipements de série qui feront d’elle une bonne routière agréable à conduire et économique au quotidien.

Essai réalisé par Rémy DEVAUREIX
Photos : Jean-Christian Cousin

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This post has been edited by aphophis: 6 Jan 2009, 21:16

Si inca una

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"Noul Renault Megane. Sau, mai bine spus, noile Renault Megane"

Versiunea în cinci uşi a noului Renault Megane 3 se încadrează perfect în peisajul clasei compacte, atât din punct de vedere al proporţiilor, cât şi al designului. Renault a inventat iarăşi Meganul din punct de vedere al designului, şi pentru aceasta cred că ar trebui să-i mulţumim, ne fereşte de o potenţială picare în letargie. Este ceva nou, ne provoacă să-l privim, să-i înţelegem liniile, şi asta e bine, ne pune retina puţin la muncă.

Caroseria în cinci uşi este cuminte, pe undeva aşa cum ar trebui să fie. Dar coupe-ul primeşte acces în orice club. Trăieşti o senzaţie de déjà-vu, parcă ceva din Scirocco, ceva din GTC..., dar produsul final are personalitate, are propria imagine şi, în plus, are acel ceva care te scoate în faţă, dar într-un mod elegant şi nu obscen.

Interiorul este o evo-revoluţie în bine. Materialele utilizate sunt la acelaşi nivel cu cele din Laguna, ceea ce este un atu, dar, încă o dată – la fel ca şi în cazul lui VW Golf 6, aştept un test cu un model în România, cu o dotare cît mai apropiată de ce va primi clientul care nu îşi cumpără vârful de gamă. Totuşi materiale moi, plăcute la atingere, piele şi un peisaj plăcut ochiului.

Tabloul de bord este un mariaj între clasic – turometrul şi modern – displayul pentru kilometraj şi computer de bord, plus un sistem de led-uri care prind viaţă în momentul activării cruise control. În partea superioară stânga se aprind leduri verzi în momentul setării vitezei dorite, iar, în cazul unor acceleraţii care conduc la depăşirea cu aproximativ 10 km/h a vitezei setate, în partea dreaptă superioară se aprind nişte leduri roşii. Acestea funcţionează după acelaşi sistem şi în cazul utilizării limitatorului de viteză.

S-a optat pentru un vitezometru digital, cu un afişaj generos pentru o mai bună vizibilitate în timpul condusului. Consola centrală este o evoluţie a celei regăsite pe Laguna, iar deasupra se află displayul sistemului de navigaţie. Sistemul audio este special dezvoltat pentru Renault Megane 3, softul acestuia include setări pentru diferitele niveluri de echipare şi materialele pe care le implică acestea… totul pentru cea mai bună audiţie.

Una dintre evoluţiile în bine este poziţia la volan, mult mai joasă decât în cazul vechii generaţii. O altă surpriză a reprezentat-o volumul portbagajului, chiar şi la versiunea coupe. Am reuşit să adăpostim fără nici o emoţie camera video, trusa foto, trepied, plus două valize. Cei 377 litri fac cinste versiunii coupe.

Poziţie bună la volanul noului Renault Megane 3, aşa cum am menţionat pe pagina precedentă, vizibilitate de asemenea bună, plus un pedalier plăcut şi un volan care asigură o priză bună.

Am torturat versiunea Renault Megane Coupe, care ascundea sub capotă propulsorul de 2 litri turbo care dezvoltă 180 CP. Un mic RS la prima vedere, care pune la dispoziţie 300 Nm de la 2.250 rpm. Propulsorul este incredibil de elastic, poţi rula în treapta a şasea la 1.500 rpm având 65 km/h, pentru ca mai apoi să ajungi imediat la viteze de croazieră pe autostradă.

În acelaşi timp, consumul este din două pelicule total diferite. Poţi viziona o comedie romantică într-un regim economic, obţinând valori de 7 litri la sută, ori un thriller cu valori de 18 litri atunci când forţezi nota. Şi, deşi vorbim în mare de o versiune civilă, coupe-ul oferă performanţe surprinzătoare. Tradiţia îşi spune cuvântul, Megane Coupe oferă incredibil de multă aderenţă, a fost o reală plăcere sesiunea de viraje din vecinătatea Madridului care a fost inclusă în ruta de drive test.

Plăcerea vine şi din alte mici/mari modificări aduse noului model. Direcţia are o demultiplicare mai scurtă, este mai directă. A fost modificat senzorul de cuplu al coloanei de direcţie, iar rezultatul este vizibil. Noul Renault Megane 3 are o direcţie plăcută, una care oferă şi feedback. A fost păstrată în mare arhitectura suspensiilor de la generaţia a doua, dar s-a lucrat la setări, s-au modificat profile, pe alocuri au fost adăugate elemenete..., iar rezultatul se simte din plin.

Spre deosebire de versiunea în cinci uşi, coupe-ul are amortizoare mai tari cu 19% pe faţă şi 10% pe spate, iar garda la sol este mai mică. Coupe-ul transmite un alt mesaj, este sportiv, masculin şi toate astea într-o ambianţă elegantă. Plăcut impresionat şi de frâne care s-au dovedit andurante, chiar dacă frânările au fost de multe ori violente, lucru confirmat şi de intrarea în funcţiune a luminilor de avarie.

Recunosc că versiunea de familie nu prea mi-a făcut cu ochiul, în condiţiile în care aveam de ales între 180 de cai turbo sau 130 căluţi diesel. Motorul common-rail nu este o noutate, este ştiut de pe Megane Extrem, acel 1,9 litri dCi de 130 CP şi 300 Nm. Aici totul se rezumă la a descoperi şi a te bucura de restul calităţilor. Spaţiu, materiale, economie de carburant... Cu toate că are un tren de rulare setat pe confort, versiunea în cinci uşi păstreză ţinuta de drum impecabilă, poate cu ceva mai mult ruliu pe viraje.

Ambele versiuni sunt incredibil de silenţioase, în cazul coupe-ului afirmaţia fiind valabilă doar până la un punct, nu se aude motor, zgomot de la pneuri... În schimb am descoperit ceva cam mare zgomotul aerodinamic.

La capitolul practic trebuie amintit că hatchbackul oferă un volum al portbagajului de 405 litri. Şi încă ceva, ceva la care ţin mult şi la care acord atenţie atunci când vine vorba de un nou model: Renault Megane 3 este mai uşor decât Megane 2. Ce-i drept doar cu 8 kg, dar tot este un progres.

Personal am găsit o versiune coupe extrem de reuşită, un hatchback uman şi agreabil în viaţa de zi cu zi şi asta cu surprindere, luând în considerare unele reviewuri nu prea entuziaste ale presei de afară, precum şi clasarea pe locul şapte în competiţia "Car of the Year 2009".


Sursa: ProMotor

Poze:
http://storage0.dms.mpinteractiv.ro/media/...romotor-101.jpg
http://storage0.dms.mpinteractiv.ro/media/...romotor-102.jpg
http://storage0.dms.mpinteractiv.ro/media/...romotor-113.jpg
http://storage0.dms.mpinteractiv.ro/media/...romotor-110.jpg

a pierdut cam toate comparativele, inclusiv in presa frantuzeasca, ceea ce nu e prea de bine.... astept sa o vad in realitate, nu pot sa spun ca mi se pare frumoasa, era mai interesanta parca asta veche cu popou...

Masina este cotata destul de bine - in schimb sub golf 6. In presa engleza a fost primita foarte bine fiind apreciata calitatea asamblarii si executiei precum si faptul ca pare solid construita. Daca o sa pot o sa scanez cateva articole...

Eu cred ca masina va fi un (mare?) succes pozitionarea ei in spatele golfului fiind mai mult de cat meritorie - adica a fost clasata peste masini ca - astra, auris, focus chiar si civic de anumite reviste.

Trebuie sa recunoastem ca in aceasta clasa golful este inca "taticul lor" si este foarte greu sa fie detronat . Golful mai castiga si din cauza motorizarilor extrem de variate si unele extrem de reusite.

This post has been edited by ncristi: 8 Jan 2009, 09:38

Masina este cotata destul de bine - in schimb sub golf 6.

Pe ce te bazezi?mie imi place mai mult meganul decat golful 6 iar calitativ nu cred ca e maire diferenta.cel putin nu atat de mare cat lasa diferenta uriasa de pret intre ele.



Trebuie sa recunoastem ca in aceasta clasa golful este inca "taticul lor" si este foarte greu sa fie detronat . Golful mai castiga si din cauza motorizarilor extrem de variate si unele extrem de reusite.

Dar pierde si din cauza pretului nesimtit de mare.la banii aceia deja iti iei laguna bine echipata...

Megane are o gama de motorizari dci care vor face cu siguranta furori la vanzari. Nu stiu cat este el de sub Golf, parca presa asta auto e prea "germanizata".
Sa nu uitam ca preturile pentru Romania vor fi foarte competitive.

sa speram ca vor fi competitive si la hatch si la viitorul sedan

sper ca faceliftul sa reintroduca designul franei de mana de la actualul megane , e genial

Sper sa il lase asa..mie cel actual de pe megane nu imi place...nu mai vorbesc de ala electric de pe scenic..

This post has been edited by MHY: 8 Jan 2009, 15:02

test renault megane 3 .9 dCi 130 cp, impresii dupa 10.000 de km:

http://www.autojournal.fr/essai-voiture/Re...et=introduction

+

CODE

Moteur remarquable
Tenue de route
Direction en progrès

-

CODE

Visibilité vers l'arrière
Habitabilité arrière
Assise des sièges trop courte

Introduction


Un mois en Renault Mégane

Curieuse voiture que cette Mégane III : par certains progrès, elle gomme des défauts criants de sa devancière alors que par d'autres, elle laisse apparaître des faiblesses inconnues sur le modèle précédent. Pour faire la part des choses et percer tous ses secrets, nous lui avons infligé la redoutable épreuve des “10 000 km” de la rédaction de L'Auto-Journal.

La nouvelle Mégane, nous lui avions déjà fait subir toute une batterie d'épreuves, allant de la prise en main à l'essai détaillé, en passant par un comparatif. À la rédaction, les avis restaient cependant partagés à son sujet. Pour trancher la question, nous avons orchestré pour elle un impitoyable banc d'essai long de 10 000 km, un véritable chemin de croix qui la placerait dans toutes les configurations d'usage possibles, et parfois même un peu plus. Ce redoutable banc d'essai, assorti d'un ensemble de tests spécifiques, relève d'une longue tradition à L'Auto-Journal. Par rapport à un essai classique, aussi poussé soit-il, le “10 000 km” se caractérise par le fait qu'il se déroule sur un laps de temps plus long, que la voiture passe dans les mains de l'ensemble des journalistes de la rédaction, et que des mesures très précises et menées de manière scientifique, comme celle de la climatisation, sont réalisées. La Mégane est disponible dans un grand nombre de motorisations et de finitions. Pour ce voyage d'un genre particulier, nous avons arrêté notre choix sur une berline 5 portes dCi 130, dépourvue du filtre à particules (ou FAP), dans sa finition la plus huppée baptisée Privilège. Alors que toutes les autres motorisations diesel bénéficient d'un bonus de 700 euros, la 130 ch se situe dans une zone neutre, sans bonus ni malus, contrairement aux versions essence frappées d'un malus de 200 euros. Notre voiture disposait de quelques options, à savoir les prises audio Plug & Music (200 euros), le système de navigation Carminat Bluetooth DVD (1 950 euros), les jantes en alliage Sari en 17 pouces (450 euros), les projecteurs bixénon directionnels avec lave-phares (pack Xénon facturé 850 euros), la peinture métallisée (450 euros) et le pack Easy comprenant le système de surveillance de la pression des pneumatiques ainsi que le frein à main électrique (500 euros). Tous ces suppléments grèvent l'addition jusqu'à la porter à 29 600 euros, ce qui commence à faire cher et modifie inévitablement le niveau d'exigence. Pour situer les valeurs et à titre d'exemple, une Audi A3 Sportback 2.0 TDI en finition Ambition, très comparable en termes de gabarit et de performances, certes dépourvue de toute la palanquée d'options de la Mégane mais vous gratifiant d'une qualité sans égale, vous sera proposée 29 150 euros. En toute logique, avant de choisir et de vous décider, une réflexion s'impose.



Vie à bord

Il est temps d'arrêter les palabres. Tout long voyage suppose de vérifier les niveaux. Une agréable surprise nous attend à l'ouverture du capot moteur : Renault a (enfin) installé un vérin. Bibi le photographe me rejoint armé de courage (pour affronter les rigueurs du froid) et blindé de bagages (pour soigner les prises de vue). Moment d'angoisse au moment de charger, heureusement vite dissipé : le hayon dégage une large ouverture alors que le volume du coffre s'apparente à celui d'une soute. Un seul détail gâche ce tableau idyllique : la fragilité du couvre-bagages. Nous décidons de poser nos manteaux sur la banquette arrière. Ce qui nous oblige à nous courber en deux et surtout à nous montrer très vigilants pour ne pas nous blesser sur le coin supérieur de la porte : un mauvais point sur un modèle à vocation familiale. Nous en profitons pour vérifier l'habitabilité aux dites places. Le bilan est sans appel : si la Mégane a grandi, ce n'est sûrement pas au profit de l'espace réservé aux jambes des passagers arrière. En soulevant l'assise de la banquette, nous découvrons une finition (ou plutôt une absence de finition) indigne du prix de la voiture. Il n'y a pas de petites économies, et M. Carlos Ghosn est assurément un maître en la matière. Installons-nous aux commandes. Au premier coup d'œil, la qualité de matériaux, l'assemblage ainsi que l'ajustage des différents éléments flattent le regard. Avec plus d'attention, on détecte cependant quelques défauts choquants, comme une coiffe de capteur de pluie trop petite pour masquer toutes les misères. Un détail, certes, mais un détail qui trahit de mauvaises habitudes. De forme “baroque”, le tableau de bord est agréable à vivre. Au rang des curiosités, il semble implanté un peu bas dans la carrosserie, ce qui a imposé un plastique de raccordement à la base du pare-brise. Toutes les commandes sont facilement accessibles, à une exception près : les touches supérieures de l'autoradio, placées sur la console, sont trop petites et trop proches les unes des autres. Le clignotant ne dispose pas de commande par impulsion, un raffinement inconnu chez Renault. Loupé ergonomique, le couvercle masquant les prises audio ne peut s'ouvrir si vous placez le cendrier nomade à son emplacement (ou encore une canette). Le compteur de vitesse oublie l'aiguille pour un système digital : plutôt lisible mais peu intuitif. Les fidèles de la marque écraseront une larme, en souvenir de la 11 Electronic. Grâce au kit mains-libres, le moteur s'éveille sur une simple pression du doigt. L'aide au stationnement ne disposant d'aucun rappel visuel, on tend l'oreille lors des manœuvres, en croisant les doigts pour ne rien toucher : la visibilité vers l'arrière ainsi que des trois quarts arrière est franchement médiocre et s'apparente davantage à celle d'un coupé que d'une berline.

Sur la route

Le moteur est un régal: souple, élastique, doux, silencieux et puissant, il n'a que des qualités. En un mot, parfait, il constitue clairement un des points forts de la Mégane. Dommage qu'il consomme un fifrelin de plus que dans la version précédente (0,6 l/100 km en moyenne). La boîte, si elle ne pose aucun problème et se révèle bien guidée, accroche légèrement à hauteur du point milieu et pèche par des débattements un peu longs. On pourra aussi lui reprocher son manque de fermeté à l'enclenchement : une affaire de goût. La direction, largement décriée sur le modèle précédent, a nettement progressé sans pour autant égaler les standards des meilleures. Un de nos essayeurs lui reprochait son côté élastique. Comme le moteur, le freinage constitue un des atouts de la Mégane. Il est non seulement puissant, progressif, endurant, mais encore très efficace : pour passer de 130 km/h à l'arrêt, il réclame 64 m à peine, soit un gain de 2,8 m par rapport au modèle précédent équipé de la même mécanique. Autre progrès : l'insonorisation. La nouvelle Mégane est particulièrement silencieuse, à tous les régimes. Le silence de marche ne sera perturbé que sur une route en gravillons, par la faute d'un manque d'insonorisant dans les passages de roue, une tare dont souffrent toutes les voitures... japonaises. Le confort est un sujet qui porte à controverse. Sur autoroute ou partout ailleurs, pour autant que le revêtement s'apparente à un billard, la Mégane vous dorlote. Si par malheur votre itinéraire est truffé de casse-vitesse ou encore que votre cadence ne s'accorde pas à la fréquence des obstacles, le tableau se dégrade singulièrement et vos vertèbres subissent un traitement de torture. Où il n'y a guère de sujet à la polémi que, c'est avec la longueur insuffisante de l'assise des sièges. Pas besoin de parcourir une longue distance ni de mesurer 2 m pour s'en apercevoir. L'efficacité de la climatisation est indiscutable (voir test p. 40). En revanche, la régulation beaucoup trop violente nuit au confort et impose d'adapter sans cesse la température, bouton par bouton (ils ne sont pas couplés). En outre, le système de désembuage est paresseux. La tenue de route est sans histoire, peu importe le type de tracé ou encore les incidences de la météo. La tenue de cap est imperturbable, même par vent traversier violent. Grâce à l'élasticité du moteur, la motricité sur sol glissant s'en trouve facilitée, ce qui, sur route enneigée, peut vous tirer (momentanément) d'embarras et vous sortir d'un piège. L'épaisseur des montants de pare-brise et leur forte inclinaison ont deux conséquences. La première est une gêne à la conduite, surtout en ville ou sur une route de montagne, la seconde génère une désagréable sensation “d'engoncement”. Pour commode à utiliser qu'il soit, le régulateur de vitesse manque de douceur lorsque vous le coupez. De nuit, l'éclairage est non seulement puissant mais équilibré : il n'y a pas de trou noir en passant de la position route à feux de croisement. Contrairement aux concurrents allemands, Renault n'a pas songé à pourvoir l'habitacle de points lumineux créateurs d'ambiance. On tâtonne donc pour trouver le moindre rangement (ils ne sont pas légion). Même comme passager, n'imaginez pas vous servir du lecteur de carte, aveuglant. Terminons ce compte rendu sur deux points, l'un positif, l'autre négatif. De coloris beige cendré, notre Mégane a bluffé le photographe par sa capacité à rester sinon propre, du moins présentable, tout au long du parcours. Quant au Carminat, il ne nous a toujours pas convaincus, nous annonçant de tourner à droite alors qu'il suffisait de suivre la route, se taisant dans certains carrefours, nous intimant de quitter l'autoroute à cause d'un embouteillage imaginaire ou encore en nous calculant des temps d'arrivée et des distances de parcours absolument fantaisistes... quand il ne nous a tout simplement pas égarés !


Finances

Le prix de la Mégane dCi 130, dans cette finition Privilège et agrémentée de quelques options, est élevé (pratiquement 30 000 euros). Il reste la possibilité de négocier les tarifs. Sa consommation est raisonnable. ABS avec répartiteur et amplificateur de freinage, accoudoir central AV et AR, allumage automatique des phares et des essuie-glaces, aides au stationnement AV et AR, antipatinage ASR, 6 airbags, autoradio CD avec commande au volant, banquette AR rabattable 1/3-2/3, boîte à gants réfrigérée, carte de démarrage mains-libres, climatisation automatique bizone, contrôle de trajectoire ESP, jantes en alliage de 16 pouces, kit de réparation de pneu, limiteur/régulateur de vitesse, miroirs de courtoisie éclairés, ordinateur de bord, phares antibrouillard, rétroviseurs extérieurs rabattables électriquement, rétroviseur intérieur électrochromatique, sellerie mixte cuir/tissu, sièges avant réglables en hauteur, spots de lecture AV et AR, système de fixation Isofix aux places AR extérieures, vitres AV et AR électriques, volant cuir réglable en hauteur et en profondeur, voici les équipements de base de la Mégane essayée.

Conclusion

Équipée de ce moteur dCi 130, la Mégane est une berline compacte très recommandable qui ne souffre d'aucun défaut vraiment rédhibitoire, sinon, peut-être, d'une visibilité médiocre et d'un confort très perfectible sur certains types de route. Elle ne fait aucun mystère du reste, y compris de son prix somme toute coquet. À vous de voir donc si son habitabilité arrière vous convient.

teste renault Renault Mégane Coupé TCe 180 : http://automobile.nouvelobs.com/essais/273...article_p5.html

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CODE

Direction transfigurée, enfin agréable
Vaste coffre
Finition soignée
Moteur TCe à la fois souple et rageur
Style du Coupé à part
Places arrière vastes sur le Coupé

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CODE

Les petites vitres rendent claustrophobes à l'arrière (Coupé)
Radio placée très bas
Pas de roue de secours

Ses designers ont visé le consensus, ses créateurs le meilleur niveau de sécurité passive toutes catégories confondues. Mais c'est son côté prévenant que l'on retient à l'usage. Y compris dans cette version dont la silhouette justifie le patronyme de Coupé.



Oubliez la cavalerie fabuleuse de ses nouveaux moteurs, la ténacité de son châssis affuté "aux petits oignons" ou même l'omniprésence de sa panoplie d'aides électroniques. La nouvelle Mégane est une auto qui se met à la place du conducteur moyen. Celui qui s'inquiète avant toute chose de réduire son budget transports et de préserver son permis.

La preuve avec ce gros œil blafard qui vous guette derrière la jante épaisse du volant. On y lit sa vitesse en un, deux puis trois gros chiffres noirs sur un fond blanc lumineux. Utile pour caler précisément son allure et échapper à des radars aussi invisibles qu'impitoyables.


Mieux, lorsque vous enclenchez le régulateur ou bien le limiteur, la "vitesse de consigne" s'inscrit en petit, au sommet de l'écran. Un rappel bienvenu qui disparaissait jusqu'alors dès lors qu'on voulait consulter la consommation ou bien l'autonomie. Bien vu !

Ultime coup de pouce aux étourdis, la partie droite du pourtour du compteur s'illumine en rouge dès que vous dépassez la vitesse préréglée... Certains parleront d'écran à neuneu, d'autre d'un rappel à l'ordre salvateur. Question de point de vue.


"La clientèle nous a réclamé ce gros compteur", confirme Marc Siellet, Directeur de Programme adjoint. "La décision de passer à l'affichage digital a été prise au regard des préférences exprimées par nos clients, préoccupés par leur vitesse."


Autres temps, autres mœurs. Jusqu'il y a peu, Renault répétait à qui voulait l'entendre que le gros tachymètre à cristaux liquides, c'était bon pour l'Espace et la Twingo. Pas pour une berline, par nature tournée vers le plaisir de conduire.


Ah ! le plaisir au volant. Le conduc… pardon ! le pilote d'une Mégane savait percevoir toute la poésie qui émane du balai incessant des aiguilles. Au contraire du père de famille accablé de soucis au volant de son monospace…


N'allez pas en conclure que la nouvelle Mégane cherche à insulter votre intelligence. Prévenante en tout, elle a même songé faciliter l'opération de remplacement de ses ampoules de phare. Si, si !


Ne riez pas. Cette opération en apparence anodine exigeait jusqu'alors de démonter le bouclier ! Heureusement, le réseau compatissant n'avait pas toujours le cœur de facturer le client ébahi.

Dorénavant, les phares de la Mégane (et du futur Scénic III) s'extraient moyennant quelques tours d'une clé plate (fournie). Enfantin, à condition de lire le manuel.


Beaucoup plus instinctive est la prise en main de la voiture.


Ignorée par une clientèle qui avait fini par s'y habituer, mais honnie par une presse spécialisée qui goûte au pire comme au meilleur de la production automobile, la direction de la Mégane bénéficie enfin d'une assistance électrique revue de fond en comble.


C'est bien simple, tout jusqu'au fournisseur lui-même a été remplacé. Pour gommer le manque de consistance, le berceau moteur a été rigidifié, le rapport de démultiplication diminué (1,16 contre 1,17) et la fréquence du processeur accélérée. Le moteur électrique est toujours implanté à mi hauteur de la colonne de direction, mais il est dorénavant régi par 16 lois d'assistance.

Enfin, un capteur plus "intelligent" supprime les oscillations du volant en plein virage en augmentant très légèrement l'assistance durant cette phase de conduite délicate.


A l'usage, on n'y voit que du feu. Et on renoue avec les sensations d'une "bonne vieille assistance hydraulique".


Pourquoi se donner tant de mal ? Parce que le système électrique garantit une réduction de la consommation bienvenue en ces temps de chasse au CO2.


A ce chapitre, la nouvelle Mégane se révèle plutôt vertueuse : 7,6 l/100 km annoncés en cycle mixte, pour un 2 litres turbo de 180 chevaux et un couple ravageur de 300 Nm, c'est remarquable. Mais cela mérite tout de même un malus de 750 € pour cause d'émissions de CO2 mesurées à 178 g/km.

Côté Diesel, le dCi 130 essayé sous le capot de la berline affiche 5,1 l/100 km en cycle mixte. Soit 134 g/km de CO2 pour un bonus/malus neutre.


Cette nouvelle mouture se veut plus légère de 8 kg en moyenne que sa devancière, malgré un accroissement de son équipement, de son niveau de sécurité et de ses mensurations (+ 8 cm en longueur pour la berline 5 portes longue de 4,30 m).

Son secret ? L'adoption de barres antiroulis creuses, d'un train arrière allégé ou bien encore d'un pied milieu embouti à chaud.

Plus radical mais pas forcément du goût de tout le monde, la suppression de la roue de secours permet d'économiser une vingtaine de kilos et de ménager un bac de rangement sous le plancher du coffre.


Ce sacrifice aide à faire grimper le volume de chargement de 330 à 405 litres. Voilà qui place la Mégane III parmi les bons élèves de la catégorie, à 57 litres d'une Peugeot 308 (348 litres) et à 19 litres d'une Honda Civic (386 litres).


Tout aussi appréciable est la largeur aux coudes dont jouissent les passagers avant, annoncée comme la nouvelle référence du segment. Le conducteur profite d'une position de conduite réglable en tous sens, gâchée seulement par une assise qui nous a semblée un peu étroite.


Le comportement routier est à la hauteur. A l'instar des Fiat Bravo et Peugeot 308, la Mégane adopte les trains roulants de sa devancière, à quelques aménagements près.


Ce faisant, elle se met une fois encore à la place de l'automobiliste moyen que n'effleure jamais l'idée d'aller explorer les limites d'adhérence de sa voiture. Et elle économise un temps et des moyens de développement précieux.


Tout aurait été parfait si Renault n'avait pas cédé à la mode des amortissements fermes. Fini le moelleux qu'on lui connaissait jusqu'alors. Rien de rédhibitoire, mais la Mégane rentre dans le rang.


En contrepartie, le conducteur a la sensation de faire davantage corps avec sa voiture. Surtout dans le Coupé à l'assiette surbaissée de 12 mm.


Mis en confiance par une direction "qui lui parle" enfin, il découvre les délices d'un train arrière pas paresseux pour un sou et qui n'altère en rien la stabilité, exemplaire.

Le tableau s'éclaircit encore avec une boîte manuelle à 6 rapports (PK4) qui tolère tous les rythmes de conduite. En comparaison, la boîte 6 (ND4) qui équipe la Mégane dCi 130 accroche et exige davantage de poigne. Désagréable.

Le 2 litres TCe 180 à turbo double turbine fera de la simple figuration sur le marché français et c'est bien dommage. Etonnamment souple, il se mène en ville comme un Diesel, tout à l'embrayage. De vigoureuses, les reprises deviennent musclées passés les 4.000 tr/min. Enivrant.

Le train avant n'est jamais débordé au point de devoir apporter de grosses corrections au volant mais, parfois en virage, l'effet turbo manque de progressivité dans son intervention.

Reproche plus anecdotique, la sonorité de ce 2 litres n'a rien d'enthousiasmant. Il faut être à l'extérieur pour remarquer une note à l'échappement travaillée, assez rauque.

La Mégane attire les regards

Pour ce qui est d'attirer les regards, la Mégane n'as pas besoin de forcer son talent. Dans les embouteillages qui nous conduisent au cœur de Madrid, les têtes se retournent au passage du Coupé comme de la berline. Renault s'enorgueillit d'ailleurs de scores inouïs à l'issue de cliniques organisées auprès de la clientèle sur ses quatre marchés principaux.

"Le design moins clivant (sic) de la nouvelle Mégane remporte les suffrages", affirme Christophe Deville, chargé de communication. "La précédente Mégane était une voiture qu'on adorait ou bien qu'on détestait", renchérit Guillaume Josselin, Directeur du Marketing France. "Mais celle-ci, soit on l'aime, soit on l'adore !"


L'avenir dira si le style de la Mégane III a trouvé un équilibre entre le respect des goûts d'une clientèle toujours plus internationale et la nécessité de se démarquer de la concurrence. Le consensus sera sans doute plus facile à atteindre en matière de positionnement prix, même si la Mégane change de politique.


Autrefois facturée moins cher que la berline, la variante 3 portes aspire aujourd'hui au statut d'authentique coupé. A mi chemin entre VW Scirocco et Golf 3 portes. D'où un tarif de base plus cher de 1.900 € que celui de la berline (1.6 16V de 110 ch).

Cela s'explique par le fait que le premier niveau d'équipement du Coupé correspond au second de la berline (Expression). Il comprend déjà la banquette fractionnée 1-3, 2/3, la climatisation bi-zone, l'allumage automatique des phares et essuie-glace, la radio MP3 Bluetooth ou bien les jantes alliage de 16 pouces. A noter que le système des 4 roues directrices n'est pas prévu sur la Mégane.


Pour bénéficier (entre autres) de l'accès mains libres et de l'ESP, il faut s'offrir le second niveau de finition Dynamique plus cher de 1.100 euros. Tandis que pour goûter au TCe 180, il faut débourser 23.750 €. En face, le Scirocco 2.0 TSI de 200 ch s'affiche à 27.700 €.

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http://www.autobild.de/artikel/drei-kompak...ich_829367.html

De acolo reiese ca pe hartie consumul e cam tras de par, in realitate a fost cea mai gurmanda!

megane 3 coupe 2.0 turbo 180 cp (24,750 euro) vs scirocco 1.4 tsi 160 cp (27.000 de euro)

http://www.automoto.fr/volkswagen/photos-v...09-4228669.html

vad ca megane-ul e mai ieftin, mai performant ... ce mai zic frantuzii?

De acolo reiese ca pe hartie consumul e cam tras de par, in realitate a fost cea mai gurmanda!

De unde reiese asta?

pai din ce ne-a dat maremestera, consumul nu mi se pare mare pentru un motor de 1900cmc(la varianta diesel) de 5.8%.
Acum cu benzina turbo...nustiu ce sa zic. In Buc sigur ia 15%)

2.0T 180cai daca nu ma insel e acelasi motor de pe laguna2 2.0T doar ca avea 170cai. Oricum scirocco o sa se vanda altfel datorita denumirii care este renumita in lume si cunoscuta de peste 10 ani. Una peste alta eu zic ca or sa dea lovitura si cu megane3, cel putin cu cel coupe, care este demential ca si design si performatele sunt cel putin ok.

De unde reiese asta?

Din testul autobild pe care il gasesti in link-ul dat de Highwayman, adica asta:
http://www.autobild.de/artikel/drei-kompak...ich_829367.html

Conform articolului consumurile sunt asa:
Anuntate de producator(oras/afara/mediu)
Ceed -----7.3/4.4/5.5
C4 --------7.1/4.3/5.3
Megane --6.2/4.5/5.1

Consumuri in test
Ceed-----6.2
C4--------6.1
Megane--6.3

Am vrut sa zic ca de unde initial pe hartie era cel mai economic, dupa test a reiesit ca fiind cel mai gurmand. Ma rog, diferentele de consum in test sunt infime, am vrut sa scot in evidenta doar ca ceea ce au anuntat ei pe hartie poate e cam tras de par fata de realitate.

This post has been edited by papa_mulo: 22 Jan 2009, 13:50

Mi se pare ca se insista prea mult pe varianta coupe!

Consumuri in test
Ceed-----6.2
C4--------6.1
Megane--6.3

Daca si astea sunt diferente.....c'mon

Bai bebe esti cool rau de tot! Eu cred ca tu citesti din 2 in 2 randuri!
Repet: "Am vrut sa zic ca de unde initial pe hartie era cel mai economic, dupa test a reiesit ca fiind cel mai gurmand. Ma rog, diferentele de consum in test sunt infime, am vrut sa scot in evidenta doar ca ceea ce au anuntat ei pe hartie poate e cam tras de par fata de realitate."

This post has been edited by papa_mulo: 23 Jan 2009, 00:33

Mai nou sunt poznas .Nu o lua in nume de rau, nu citesc prinde randuri si nu cred ca e vreo masina care sa coincida cu realitatea raportat la consumul de pe hartie si cel real.
Imi plac cate unii constructorii ca dau niste cifre de-ti sta mintea-n loc.

Cand se va vinde masina si in Romania ? Este absolut superba.

Cel tarziu in Aprilie va fi lansarea oficiala in Romania.

Oricum, in Franta pretul de pornire de la vreo 16 .000 E, cu dotari standard. Ma intreb ce pret va avea masina in Romania.

Mi se pare ca se insista prea mult pe varianta coupe!

Solon are mare dreptate...mai toata lumea testeaza numai coupe ul, si asimileaza performantele si calitatea asamblarii si hatch-ului..nu am gasit un test al hatch ului, in care sa se aminteasca si de coupe..
grupul posesorilor de m2 sedan si nu numai asteapta cu interes aparitia sedanului M3 oficial..

pai se insista pe coupe pt. ca este superb si este un competitor pt. scirocco daca nu ma insel.

Imagini cu Megane Coupe si Hatchback de la lansarea pentru presa din Spania. Picciurelele sunt facute de mine, nu de un fotograf cu acte in regula. Sunt pasionat de fotografie dar nu am mari pretentii de fotograf. Am cautat si alte unghiuri pentru a putea observa unele detalii ale masinilor care nu pot fi remarcate in imaginile standard. Cu masinile in miscare mai greu, pe viitor poate imi iese sa fiu la volan sa mai fac si click.
Coupe-ul este senzational. Rar am gasit o masina care sa ma bucure atat de mult pe sectiunile virajate. Sub capota 2.0T de 180 CP.
Versiunea in 5 usi extrem de pasnica si cuminte, cam cum trebuie sa fie un astfel de model. Mai vin imagini amu.

poze din spate nu ai? Ceva mai multe impresii despre motor, stabilitate, comenzi.. cum arata fata in realitate, adica.. tie ti-a placut?